Le corps d’Émile retrouvé dans un congélateur ? L’annonce vient de tomber

La disparition du petit Emile inquiète de plus en plus. Une nouvelle hypothèse a vu le jour… Le petit garçon aurait pu être coincé dans un congélateur. Depuis le 8 juillet dernier, le petit Emile est introuvable. Alors qu’il avait été déposé chez ses grands-parents dans la matinée, l’enfant de deux ans et demi a disparu en l’espace de quelques secondes. La disparition a rapidement été signalée par la grand-mère d’Emile. Très vite, une battue a été organisée où plus de 800 bénévoles se sont rendus dans le village du Haut-Vernet pour prêter main forte. Mais en vain… L’enquête s’est ensuite poursuivie par les gendarmes, mais elle a eu beaucoup de mal à avancer. Après avoir bouclé le village, toutes les habitations ont été fouillées dans les moindres recoins. Des interrogatoires ont également eu lieu. Mais malgré tous les efforts des enquêteurs, le petit Emile n’a toujours pas refait surface au grand désespoir de ses parents et de toute sa famille. Cette disparition intrigue et est évoquée dans tous les médias. Dernièrement, une édition spéciale d’Enquêtes Criminelles a été proposée aux téléspectateurs W9. Il a alors été annoncé que les gendarmes « inspectent chaque recoin des maisons du hameau« . Les des journalistes de l’émission ont annoncé : « C’est allé, certaines fois, jusqu’à fouiller les congélateurs des maisons ». PASSER A LA PAGE SUIVANTE POUR LIRE LA SUITE... De son côté, Nicolas Daguin, journaliste du Figaro, a précisé : « Les congélateurs, parce qu’un enfant peut décider d’aller jouer, de se cacher, et de se retrouver bloqué dans un congélateur ». Après plusieurs recherches, le petit garçon n’a pas été retrouvé dans les congélateurs, ni dans aucun champ, ni aucune rivière aux alentours du village. Des perquisitions ont eu lieu, mais elles n’ont rien donné… Dernièrement, une nouvelle perquisition a eu lieu chez un jeune homme de la région qui est réputé pour conduire de façon dangereuse son tracteur. L’hypothèse qu’il aurait pu percuter Emile a été envisagée. Mais cette perquisition n’a rien donné, tout comme celle faite chez un habitant qui venait de construire une dalle pendant le mois de juillet. À ce jour, l’enquête se poursuit. Les proches d’Emile ont sûrement quitté le Haut-Vernet, où se trouve la maison de vacances des grands-parents, pour rentrer chez eux. De leur côté, Colomban et Marie, les parents d’Emile, espère de tout cœur que leur petit garçon soit au plus vite près d’eux et d’Alaïs, sa sœur. La famille de la jeune adolescente Lina sont également en attente de bonnes nouvelles depuis sa disparition qui a eu lieu il y a quelques semaines déjà. PASSER A LA PAGE SUIVANTE POUR LIRE LA SUITE... “Tout le monde est passé à côté” : la famille d’Émile dévastée après la triste découverte Pour nos confrères de 20 Minutes, François Daoust, ancien directeur de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, est revenu sur l’affaire du petit Émile, qui pourrait bien connaître un tournant avec le changement de saison. Explications. Trois mois sans nouvelles. Le 8 juillet 2023, le village du Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, plonge dans l’effroi. Le petit Émile, 2 ans, disparaît de la surveillance de ses grands-parents. Depuis, plus aucune trace du garçon, qui semble s’être volatilisé brutalement. Des battues ont été organisées, des perquisitions ont eu lieu dans le village, mais rien. Aucun indice n’a été retrouvé pour expliquer ce qui se serait passé ce triste jour. Toutefois, les parents de l’enfant gardent espoir. D’autant que pour François Daoust, ancien directeur de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, un élément extérieur pourrait aider les enquêteurs. Dans les colonnes de 20 Minutes, le lundi 9 octobre 2023, ce spécialiste indique que le changement de saison pourrait avoir des conséquences sur les recherches. “Sans végétation, le terrain apparaît sous un autre jour, et il est assez fréquent qu’on retrouve des corps à cette période”, confie-t-il. PASSER A LA PAGE SUIVANTE POUR LIRE LA SUITE… “Il faut analyser si leur emploi du temps est cohérent, leurs antécédents” Si les recherches sur le terrain se poursuivent, les gendarmes se concentrent aussi sur des investigations plus techniques, comme l’analyse de la téléphonie, qui va être très longue. En effet, le jour de la disparition d’Émile, 1.600 lignes ont borné dans le village. “Pour chacune d’elles, on va vérifier à qui appartient la ligne, quand elle a borné, quel a été son trajet. Les personnes sont ensuite convoquées, il faut analyser si leur emploi du temps est cohérent, leurs antécédents“, analyse François Daoust. À cela, il faut ajouter la recherche de traces suspectes, comme ce fut le cas en septembre 2023. En effet, une dalle en béton avait été brisée par les enquêteurs, après qu’un radar a mis en avant une tâche étrange. Mais les résultats n’ont pas été concluants. “Malheureusement, nous sommes sortis de la phase d’urgence. On recherche plutôt un corps. C’est un élément essentiel dans l’enquête, il peut porter l’ADN de l’auteur, donner des indices sur les conditions du décès. Plus le temps passe et plus ces éléments ont tendance à disparaître”, analyse pour 20 Minutes, Jacques Dallest, magistrat honoraire. L’enquête est toujours en cours pour retrouver le petit Émile. PASSER A LA PAGE SUIVANTE POUR LIRE LA SUITE… Émile : après l’annonce du drame ce matin, sa famille dévoile aux médias les derniers mots émouvants du garçon. De nouveaux témoignages ont été recueillis par les enquêteurs autour de la disparition du petit Emile. Le garçonnet qui n’aurait eu qu’un seul mot à la bouche avant de se volatiliser. L’affaire de la disparition du petit Emile remonte au 8 juillet 2023 lorsque ses grands-parents ont lancé l’alerte. Rapidement, une battue a été organisée afin de le retrouver. Les gendarmes ont également exploité toutes les pistes possibles. Malheureusement, leurs efforts n’ont jusqu’à présent pas permis d’élucider ce mystère. Ils sont pourtant même allés jusqu’à fouiller une maison dont la dalle avait été coulée le jour où il a été porté disparu. Seulement, cette fois encore, les recherches se sont soldées par un échec cuisant. Plus récemment, les investigations se sont concentrées sur un point d’eau situé à l’extrémité du village. On ignore encore ce que ça va donner, mais une chose est certaine, les forces de l’ordre font tout ce qui est en leur pouvoir pour retrouver l’enfant disparu. Ses proches continuent quant à eux à espérer qu’il soit sain et sauf. Une disparition qui intrigue toujours autant Cette mystérieuse disparition du petit Emile est compliquée dans la mesure où ses proches ne se sont rendu compte de son absence que beaucoup de temps après. C’est d’ailleurs ce qui peut expliquer le fait que l’Alerte Enlèvement n’eut pas été déclenchée par le ministère de la Justice. PASSER A LA PAGE SUIVANTE POUR LIRE LA SUITE... Aux dernières nouvelles, le garçonnet de deux ans aurait joué dans la matinée avec plusieurs enfants du village. Il aurait alors répété la même phrase lorsqu’il se trouvait non-loin d’un étang où des cabanes étaient également construites : « Je veux retourner à la cabane, je veux retourner à la cabane. Ils ont eu du mal à lui faire faire sa sieste. Lorsqu’il s’est réveillé à 17 heures, il n’avait que ce mot à la bouche ». Emile serait-il donc retourné à cette fameuse cabane dont les enfants ont parlé sans que personne n’ait eu le temps de le voir ? S’il s’y était rendu, pourquoi on n’a retrouvé aucune trace de lui dans les alentours ? Les grands-parents du petit garçon se sont en tout cas prononcés après les différentes rumeurs autour de cette disparition : « Je passe pour un dénominateur qui terrorise tout le monde. Tout cela est faux, mais je m’en moque. Les avocats me disent en compulsant des revues de presse : vous madame, vous êtes quasi-transparente. Mais votre mari prend tout sur son dos ». PASSER A LA PAGE SUIVANTE POUR LIRE LA SUITE... Lors d’une conférence de presse organisée mardi 11 juillet au Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, le procureur de la République de Digne-les-Bains est revenu sur la disparition du petit Émile, qui secoue la région depuis samedi et dont l’enquête semble faire du sur-place. Mardi 11 juillet, Rémy Avon, le procureur de Digne-les-Bains a donné une conférence de presse concernant la disparition du petit Émile, deux ans et demi. Face aux journalistes, et notamment à ceux de BFMTV, il a fait le point sur cette affaire qui n’a pas été qualifiée en possible enlèvement, en expliquant qu’il ne peut pas y avoir de garde à vue prochainement. "Dans la mesure où nous n’avons pas d’infraction, il n’y a pas de personne mise en cause", a-t-il affirmé. Lorsque l’une de nos consœurs lui a demandé si "on [peut] parle[r] de scène de crime aujourd’hui", Rémy Avon a répondu par la négative, en rappelant qu’il n’y a "pas [eu] d’infraction [et donc] pas de crime". "Nous sommes dans une enquête que la loi a prévue, qui permet à des services d’enquêtes, au parquet, à l’autorité judiciaire, par des moyens d’investigations tels que les perquisitions, les visites domiciliaires, les saisies, les auditions, de tenter de comprendre quelles sont les causes d’une disparition jugée inquiétante", a résumé le procureur de Digne-les-Bains. Quant aux recherches, il a indiqué qu’elles vont "se poursuivre" ce mercredi 12 juillet après avoir défini "les secteurs à privilégier". le procureur de Digne-les-Bains lors d'une conférence organisée le 11 juillet 2023. Capture écran BFMTV "Toutes les hypothèses" soulevées "sans restriction" Concernant le dispositif mis en place pour tenter de retrouver le petit Émile, Rémy Avon a affirmé qu’il regroupe "quatre-vingt-dix personnels issus des escadrons de la gendarmerie mobile de Gap et de Dignes, de la gendarmerie départementale des Alpes-de-Haute-Provence dans toutes ses composantes […], un peloton de gendarmerie de haute montagne, les pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie et des brigades territoriales" Il y a eu en plus "une douzaine de militaires de sapeurs, légionnaires de la légion étrangère et du génie en l’espèce", comme il l’a ajouté devant les caméras. Le procureur de la République de Digne-les-Bains a aussi précisé qu’il garderait "toutes les hypothèses dans [s]on esprit" pour mener à bien cette enquête, "sans restriction" et tenter de trouver les réponses tant attendues par la famille du garçonnet disparu il y a déjà plus de trois jours.

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